Erreurs à éviter

CE QU’IL FAUT EVITER LORS DE TRAVAUX D’AMELIORATIONS ENERGETIQUES 

Quelques exemples ci-dessous :


Un ancien bâtiment composé de murs en pierres et un bâtiment en maçonnerie de briques ou béton des années 70, ne réagissent pas de la même façon après des travaux d’isolation.
En effet, les vieux  murs en pierres ont et auront toujours besoin de conserver une certaine hygrométrie sans excès pour perdurer dans le temps comme ils l’ont fait à travers les années.
Isoler ce type de mur par un produit inadapté et/ou mal positionné entraîne des pathologies irréversibles qui avant rénovation n’existaient pas :

– apparition d’humidité, salpêtre, décollage du crépis, moisissures.
– la dessiccation des joints entraînant la dislocation des pierres et fissures.


En cas d’isolation d’un comble, la réglementation impose actuellement de placer une barrière de vapeur d’eau indépendante de l’isolant afin d’éviter les fuites d’air pouvant entraîner le pourrissement du bois de charpente avec l’apparition de champignons. Malheureusement nombreux sont les cas où cette technique n’est pas respectée !


Isoler les murs et remplacer les menuiseries sans apporter une réflexion à la ventilation, surtout dans une vieille maison, est une véritable catastrophe :
Avant travaux, la maison étant ventilé naturellement par ses défauts d’étanchéité, ne « respire plus » après la réalisation des travaux.
Cette opération entraîne des pathologies inhérentes à l’apparition d’humidité, salpêtre, et à long terme dégradation du bâti et risque sanitaire !…


Renouveler sa vieille chaudière par une chaudière performante à haut rendement sans travailler préalablement sur le bâti est une totale hérésie.
Il faut savoir qu’une chaudière est testée dans un volume isolé. En fonctionnement dans une maison mal isolée, le rendement de la chaudière chutera considérablement !…

Etc….


Au vu de ces quelques illustrations, le propriétaire dépense de l’argent pour rien,
pire il dégrade son bien !